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Sziget Festival 2008 dernière
Voilà… Dimanche, le dernier jour du Sziget Festival 2008, est arrivé. Les jambes sont lourdes, les yeux fatigués, la voix éraillée… Presqu’autant que celle de Pete Doherty, qui nous a gentiment proposé une de ses prestation dont il a le secret avec les Babyshambles.
Sous prétexte que je ne suis pas sensible à sa musique, je pourrais très bien me moquer de sa façon de chanter, de jouer de la guitare désaccordée, ou même (et ce serait très mal) de son charisme de poisson rouge. Mais non ! Je serai raisonnable et je préfère me taire puisque dans la soirée c’était au tour des Killers de nous infliger leur mayonnaise. Et là, je reste sans voix.
Reste que malgré la fatigue, l’édition Sziget 2008 restera comme les précédentes : une référence. Référence dans la qualité de sa programmation éclectique (musique, théâtre de rue, danse, animations), référence aussi dans l’affluence énorme du public, qu’il soit hongrois ou international.
A travers les quelques panoramas que je vous ai proposés j’ai essayé de vous faire découvrir certaines facettes (malheureusement pas toutes) du Sziget Festival, mais aussi de vous faire partager l’amabilité avec laquelle les Hongrois savent accueillir cette foule plus ou moins ordonnée. Budapest est une belle ville que l’on sent en pleine mutation, sachant de mieux en mieux mettre en avant ses magnifiques atouts.
Enfin, un dernier mot de remerciement à toute l’équipe organisatrice du Sziget Festival, qui, tant bien que mal, tente de nous laisser - nous photographes - travailler dans les meilleures conditions possibles (et ce n’est pas toujours évident ! ), mais aussi et surtout à Andras Frenyo, instigateur du projet Sziget Panorama, qui a su, depuis plusieurs années, réunir autour de lui une équipe de photographes panoramistes aptes à faire partager cet exceptionnel rendez-vous (voir sur Sziget360.com).
Szia Sziget ! Longue vie à toi !
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Jack Lang ravi que les Français sortent du "provincialisme étroit"
L’ancien ministre de la Culture Jack Lang était vendredi l’invité surprise du Sziget festival, à Budapest. D'abord interviewé par la presse hongroise (avec comme traducteur Robert Lacombe, responsable du bureau Sziget France - voir panorama), Jack Lang a gentiment accepté de répondre à deux trois questions pour Rue89... à questions rapides, réponses rapides... |
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Mademoiselle K : sur scène comme en en coulisses elle "se plie en 4" pour le Sziget !
Il y a des concerts que l’on tient absolument à voir lors d’un festival, pour ma part celui de Mademoiselle K en faisait partie. Programmée sur la Grande Scène en début d’après-midi, la partie n’était pas jouée d’avance.
Mais si le public n’a pas été aussi nombreux qu’on aurait pu l’espérer (tout est relatif…), l’ambiance était là et les efforts du groupe pour le satisfaire ont porté leurs fruits. Un succès peut être d’estime, mais dans ce cas il était juste mérité, tout simplement.
Mais la journée a continué avec une programmation de furieux comme le Sziget sait nous en proposer : avoir l’occasion de voir des artistes comme R.E.M., Goran Bregovic, Adam Green (sans citer les autres…) programmés quasi simultanément peut poser un sérieux dilemme au moment du choix.
Reste qu’une prestation fabuleuse a époustouflé le public venu en très grand nombre sur la scène jazz : le génialissime Maceo Parker, dans une forme fabuleuse qui a su faire étalage sans aucune retenue de sa classe internationale… que dis-je ? ! ! interplanétaire !
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Sex Pistols au Sziget: à la portée d'un crachat de Johnny Rotten
Les voilà ! Les seuls, les vrais… les Sex Pistols ! Je ne vais pas la jouer blasé, me retrouver à la portée d’un crachat de Johnny Rotten ça fait quand même quelque chose ! Ils sont là, tous les trois plus un, reprenant méthodiquement des morceaux datant du milieu des années 70. Tellement méthodiquement que la première émotion passée, on est en droit de se demander si ce sont vraiment les Sex Pistols qui jouent sur scène. Les pitreries de Rotten qui ne font rire que lui, la bedaine de Steve Jones, Paul Cook caché derrière sa batterie, c’est encore Glen Matlock, à la fois premier bassiste du groupe et remplaçant de Sid Vicious, qui surprend le plus avec son look BCBG.
Entre tristesse et déception, incrédulité et désabusement, c’est la fuite qui s’impose ! Si la bonne volonté est bien là, malheureusement elle ne fait pas tout…
Alors en vagabondant dans les allées du Sziget certains (très nombreux) ont pu assister à une prestation exceptionnelle du groupe français la Caravane Passe sur la scène Roma : musique Tzigane teintée de rock humoristique, les spectateurs ont été à juste titre totalement conquis, à en demander encore et encore, avec au final le groupe jouant en plein milieu du public.
Hier soir, les punks n’étaient pas là où ont les attendait. Et après tout, c’est très bien comme ça. |
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Les Touffes Krétiennes rassasient les Hongrois
Magnifique et magique Sziget qui nous permet dans la même journée de faire le grand écart entre le groupe The President of The United States of America, la magnifique Rokia Traoré, Jamiroquai ou bien Rodha Scoot… et tant d’autres. Et puis il y a aussi le passages des Français Les Touffes Chrétiennes : un joyeux moment pour une musique festive. |
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Anti-Flag: punks, libertaires… et explosifs
Enfin ! … Sziget est bien vivant ! Pour preuve, le premier concert de la journée de mardi programmé sur la Grande Scène : les punks américains d’Anti-Flag. Ce groupe ne se prive pas de faire étalage d’idées libertaires depuis déjà de nombreuses années, idées leur ayant valu d’être boycottés à la suite des attaques terroristes du 11 septembre 2001. Souvent assimilé à un groupe anti-patriotique dans son pays, Anti-Flag rencontre à juste titre un succès mérité en Europe, et leur prestation explosive au Sziget n’a fait que le confirmer. |
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Le Sziget Festival 2008 est officiellement ouvert
Ça y est ! Le Sziget Festival 2008 est officiellement ouvert ! … Enfin, ouvert surtout pour les fans du groupe Iron Maiden, unique concert de la première journée. Je vous le confesse, n’étant pas très sensible à ce style de musique ni au spectacle proposé aux très nombreux fans (plus de 50000 présents lors du show ! ), j’ai préféré m’attarder sur le zone dite "VIP". Située tout contre la Grande Scène, c’est un savant mélange de professionnels en tout genre, personnalités plus ou moins connues, et tout autre personne capable de décrocher "LE" passe. En fait, un espace de moins en moins réservé et plus grand d’année en année, où l’on boit et où l’on mange tout en essayant de se faire voir… tout un concept ! |
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Au Dalmat, les Français s'échauffent avant le début des choses sérieuses
Jour 0 : pendant que la grande scène est occupée par des groupes hongrois pour une soirée "off", les festivaliers déjà arrivés prennent leurs marques. Et comme chaque année, la colonie française (la seconde nationalité après les… hongrois ! ) se retrouve au Dalmat, un bar parmi tant d’autres mais qui depuis déjà plusieurs éditions s’est révélée être l’un des rares endroits à supporter sans broncher l’enthousiasme, débordant mais toujours bon enfant, des Frenchies. |
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A Budapest, l'été commence vraiment sur le pont des Chaînes
Toujours avant l’ouverture du Sziget Festival à Budapest, on continue notre petit tour dans la capitale hongroise, avec une petite promenade sur le pont des Chaînes (de son vrai nom le pont Szechenyi, construit en 1848 et reliant Pest à Buda -ou l’inverse- en enjambant le Danube).
Depuis plusieurs années la "Fête du Pont", appelée aussi "Búcsú", commémore le départ des dernières troupes soviétiques, et donne le coup d’envoi des festivités de l’été sur le Pont des Chaînes. Durant huit week-end successifs, le pont est laissé aux promeneurs invités à découvrir différentes animations musicales (de tout les styles) mais aussi un grand nombre de boutiques plus ou moins artisanales. |
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Pour bien débuter, une petite virée dans Budapest by night
Passer à Budapest sans profiter du panorama offert aux visiteurs sur les hauteurs de Buda serait dommage. On peut ainsi découvrir l’ancien Palais Royal restauré dans le plus pur style autrichien, tout en découvrant la basse ville (Pest) et les nombreux ponts qui enjambent le Danube.
Pendant ce temps le Sziget Festival s’éveille et lundi sera le jour "0", avec dès l’après-midi le début des festivités et huit heures dédiées uniquement à des artistes hongrois |
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vous
pouvez visionner les panoramas du SZIGET 2007 en deux formats
différents :
Quick
Time et/ou Flash
si nécessaire cliquez sur les icônes afin de
télécharger gratuitement le plugin de votre
choix
dernière mise à
jour : 3 octobre 2007 |
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Mando Diao : du bon rock
garage venu de Suède, péchu et sautillant
à souhait... pendant ce temps le Sziget commence
à se réveiller |
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l'Orchestre
National de Barbes : mais comment font-ils ?... Des rythmes
et des chants capables de transporter le spectacteur dans
la joie et la bonne humeur, avec toujours une finesse
musicale exceptionnelle... un grand moment de plaisir
! |
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Manu Chao : adoré en
Hongrie, son concert ne pas pas semblé être
l'explosion de joie annoncée... est-ce parce que
je venais de quitter le concert de l'ONB ? |
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Si vous êtes
un couple désirant vous envoyer en l'air devant tout
le monde en plein milieu du Sziget sans risquer de vous
faire arrêter par la police, voici une solution alternative... |
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le village du monde : pour
être sincère, je me souviens juste qu'après
avoir jouer une trentaine de secondes (le temps de faire
les photos), des trombes d'eau se sont abattues sur le Sziget...
:-( |
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... quand
je vous le disais !!! D'un autre côté un Sziget
sans pluie ce n'est pas vraiment un Sziget ! ;-) |
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Transe Express - les Rois
Faignants : sur le programme il y avait marqué "Grand
Théâtre de Rue"... c'est bien plus encore
!!! Transe Express vous prend par la main au fil d'un défilé
de musiciens, danseurs, mécaniciens de génie
et artistes de tout poil, pour vos raconter une histoire
unique: celle de vos rêves. Un spectacle magique. |
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The Chemical
Brothers : du bon, du gros spectacle comme on peut s'y attendre
de la part d'une des têtes d'affiche de la quinzième
édition du Sziget |
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Gogol Bordello : une pêche
à vous laisser scotcher de plaisir !!! Et pour ne
rien vous cacher, un grand plaisir en se rendant compte
qu'il se passe encore de bien belles choses chez nos amis
américains. |
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Gogol Bordello
: interview d'Eugene Hütz, le chanteur du groupe, touche
à tout diabolique à l'esprit taquin et à
l'énergie inépuisable |
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Laurent Garnier
: ... une bonne surprise ! La main stage en plein après-midi
au Sziget : pas facile à priori... et il s'en sort
avec un public conquis... bravo ! |
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Pink : pas la peine de
vous le cacher... je suis arrivé sur ce concert (ou
devrais-je dire ce show ?) avec d'importants à priori...
et je suis reparti avec !!! |
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The Skatalites : The Skatalites
restera certainement dans l'histoire, avec Desmond Deker,
comme les inventeurs au tout début des 60's d'un
style musical appelé le Ska... pour moi il s'agit
d'un groupe mythique pour lequel il ne s'agit même
pas de se poser la question si le concert a été
bien ou pas... |
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Madness : lorsque je les ai
vu pour la première fois, la majorité du public
du Sziget n'était pas née ; 27 ans après
(!!!) la musique est bien là, à priori l'esprit
aussi... à vrai dire je crois que se sont mes jambes
qui ont le plus vieilli ! |
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le Magic Mirror : heu... il
y en a qui y dorment, d'autres qui y boivent, d'autres qui
y parlent ... mais moi je n'ai toujours pas tout compris...
à part ça la vidéo de Barbara Streisand
était quelque peu soporifique. A part ça le
lieu est très beau... et j'aurais peut-être
mieux fait d'y passer durant la nuit... |
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The Hives : il paraît
que le chanteur de ce groupe suédois est un habitué
des prestations scèniques très... démonstratives.
Ce fut le cas pour ce concert. Et le public a, au moins
pour certains, apprécié. Moi aussi, beaucoup
! |
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The Hives : la preuve
en image ! ;-) |
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Pleymo : groupe
français dont la musique mélange métal,
hard core, hop-core... ou rock. Un mélange à
la fois riche et étonnant, qui fait du bien aux tripes
si ce n'est aux tympans. Ce concert devrait malheureusement
être le dernier, Pleymo ayant décidé
de se séparer... |
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Kispal e sa Borz : quasiment
inconnu dans notre douce contrée (mais ce n'est pas
une référence !), le groupe Kispal e sa Borz
(et plus particulièrement son leader Andras Lovasi)
est une véritable institution en Hongrie. Et même
si l'on est peu sensible à ce style musical, l'enthousiasme
du public fait vraiment plaisir à voir. |
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Émilie Simon : un concert
toute en délicatesse et en douceur, à l'image
de l'artiste |
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Babylon Circus : encore des
p'tits frenchies ! Et des comme ça on en aimerait
bien d'autres ! Patate et Pêche au menu ! ;-) |
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Razorlight : que dire... heu...
Ah ! si ! vous avez vu ? il y a des photographes torse nu
au Sziget !!! En ce qui concerne le concert, désolé,
je n'ai plus trop de souvenirs... :-( |
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Sinead O'Connor : j'attendais
beaucoup de ce concert... je suis parti vite et déçu. |
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encore Sinead O'Connor : à
croire qu'il fallait boire pour avoir le sourire... ;-) |
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Faithless : un son, une présence...
un groupe qui selon moi se sort (très) bien de l'épreuve
de la main stage du Sziget |
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Beat Assailant
: sacré mélange de rap, de funk et de hip-hop...
sacré concert... sacré déception d'avoir
loupé de début du concert...Bouhouhou !!! |
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Erik Truffaz : de mémoire
de festivalier, on avait rarement vu autant de monde sous
le chapiteau de la Scène Jazz... et c'est bien normal
: en invitant Ed Harcourt, Erik Truffaz a proposé
un excellent concert, à la hauteur de sa réputation
de trompétiste décallé, mélant
jazz et musique électro. |
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jeux de feu tout près
de la scène Musiques du Monde |
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... il y a parfois
des moments au Sziget où même sous la pluie
un grand moment de solitude s'impose... |
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le Dalmát Pince : un
petit goût de quartier français, avec une ambiance
bonne-enfant, de belles rencontres, des moments mémorables... |
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20 ans au Sziget avec ses
amies... Bon Anniversaire !!! |
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!!! (ou si vous
préférez "chk chk chk") : encore
des petits américains qui font sacrèment du
bien à voir et surtout à entendre...! Quelle
pêche ! Décidement Sziget, tu sais nous faire
plaisir ! |
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Chrome - Bulls : ces 3 australiens,
totalement déjantés, offrent un spectacle
totalement illarant, sans un mot mais rythmé par
des chorégraphies et des improvisations capables
de dérider n'importe quel festivalier ! Génial
! |
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le luminarium : difficile
a décrire tant l'espace de 800 m² offert au
visiteur est magique ! Sublime !!! Est-ce les couleurs,
les enchevrêtrements de courbes et de volumes ? cette
véritable oeuvre d'art envoute par son calme, et
ce n'est pas Andras Frenyo, qui a été le premier
à nous offrir de magnifiques panographies du luminarium,
qui dira le contraire ! |
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des VIP au Sziget, en pleine
réunion de travail !!! ;-) |
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scéance de bollas lumineuses
tout près du Dalmat |
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Unicum Next : prenez des charmantes
jeunes filles dansant à moitié dénudées,
de l'alcool (peu importe lequel), de la musique qui fait
"BOOMBOOM !", rajoutez-y une pincée de
feu et HOP ! vous aurez un magique attrape-festivaliers...
d'un autre côté, y a pire ! ;-) |
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Meduza : parce que 600 concerts
et 400 animations diverses et variées ne suffisent
pas, il y a aussi des "boîtes de nuit" au
Sziget... Meduza en est une. Ce soir là c'était
un (bon) DJ espagnol, Digital 21, qui m'était l'ambiance...
et il y en avait !!! Comme quoi c'est bien aussi d'avoir
des boîtes de nuit ! |
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Juliette and the Licks
: wow ! une énergie à la hauteur de sa réputation,
et une prestation impressionnante. |
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juste avant la
tombée de la nuit, pendant le concert de Juliette
and the Licks, certains s'amusent à de drôles
de jeux... beuhhh ! ;-) |
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"Wonderland"...
c'est ce qui est inscrit en tout cas... moi, je suis assez
d'accord ! ;-) |
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The Killers :
encore une tête d'affiche... la dernière !
Seule vraie surprise : aucun photographe n'est accrédité.
Qu'à celà ne tienne, je vais faire mes petites
photos dans le public. Pour le reste (le "concert")
: vite vite ! je zappe !!! (désolé pour les
fans) |
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18 heures : concert de Thérapy?
Beaucoup de monde, beaucoup de son... |
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Nick McCarthy du groupe Franz
Ferdinand pose avec quelques fans... face à un photographe
dernier cri. |
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au Sziget il y a de quoi écouter,
de quoi voir,de quoi découvrir, mais aussi de quoi
s'amuser, beaucoup s'amuser... |
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Kiss en concert au Sziget...
ah bon ???
En tout cas bonne ambiance et surtout pas sérieux
du tout ! |
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l'italien Roy Paci et son
groupe Aretuska enflamme la salle... surprenant et très
plaisant ! |
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Ministry joue fort... très
fort ! Vous le saviez ? |
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quand les français
du Sziguet s'invitent à l'enregistrement d'une émission
télé : bonne humeur et moment agréable...
les hongrois sont très accueillants... et très
patients ! :) |
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... plus au calme, petit cours
de danse du ventre. Il fauf bien regarder pour apprendre. |
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"J'ai vu la lumière
!"
Attention tout de même aux retours de flammes... :) |
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interview de Andras Lovasi,
acteur hongrois, et après renseignements, très
connu. |
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l'art de savoir rire de soi-même... |
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sieste à l'ombre des
étoiles... |
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pourquoi pas un petit tour
au salon de coiffure ?... à moins qu'un petit baby-foot... |
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... danse du ventre, encore.
Encore ? Encore !
Toujours bien regarder pour savoir refaire... |
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rythmes bresiliens et percus
endiablées... |
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... suivi par du "peu
moins endiablé". |
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Les Boukakes enchantent le
public de la Pannon World Main Stage |
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peinture et dessins au programme
de cet atelier créatif ouverts à tous |
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magnifique ! un monde étrange
s'offre à nos yeux grace au Teatro de Automatas |
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... étrange et magique. |
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rassemblement de photographes
et de panographes hongrois autour de Mickael Therer et de
Andras Frenyo |
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une zone surprenante, voire
suréaliste, où entre animations et activités
ludiques on nous propose de rejoindre l'armée hongroise.
No comment. |
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les belges de dEUS dans une
prestation remarquable... pour presque tout le monde ! |
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une foule immense pour le
concert de Radiohead... gros concert, bon son... du Radiohead
! |
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Mickael nous a quitté
au petit matin pour rentrer en Belgique et présenter
son magnifique travail dans http://www.lespasdusida.info
; reste Krisztina, Andras, Bernhard, Aldo et moi... le tout
dans la Trabant louée pour l'occasion par Andras. |
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ils appellent ça un
labyrinthe, et au fil des nos errances nous trouvont des
animateurs prêts à nous raconter de bien belles
histoires... en hongrois ! |
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Mouss et Hakim... Hakim et
Mouss... il sont toulousains et ils sont au Sziget ; je
suis toulousain et je suis au Sziget... et si nous nous
amusions un peu ?!! |
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Frenk : artiste hongrois au
talent surprenant au tant que décalé... entre
David Bowie et Ian Dury, un moment agréable et plein
de surprises. |
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moment de détente et
de rencontres dans la zone backstage... Andras discute photo
et j'attends ma bière... |
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The Rasmus... gros concert,
un de plus ; prendre un peu de hauteur permet parfois d'apprécier
les choses différemment |
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dernieres heures passées
au Sziget 2006, dernier concert... et comme par hasard,
c'est Mouss et Hakim ! Chauvinisme régional ou jugement
impartial ? en tout cas un des plus beaux concerts auquel
j'ai assisté, et surtout un public en délire
devant un spectacle époustouflant ! Un grand moment
! Qu'ils soient Zebda ou Mouss et Hakim : ils sont trop
forts !!! |
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